Alliance du Pavillon Noir
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| | L'histoire sans fin | |
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Auteur | Message |
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Kroy-Angel Pirate
Nombre de messages : 3998 Age : 31 Date d'inscription : 09/09/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 17 Mai 2014 - 1:38 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était | |
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| Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 17 Mai 2014 - 3:21 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti .
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Nombre de messages : 3998 Age : 31 Date d'inscription : 09/09/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 17 Mai 2014 - 22:21 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier | |
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Nombre de messages : 3644 Date d'inscription : 18/08/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 24 Mai 2014 - 7:41 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé
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| | | Kroy-Angel Pirate
Nombre de messages : 3998 Age : 31 Date d'inscription : 09/09/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 24 Mai 2014 - 8:58 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna | |
| | | Read Pirate
Nombre de messages : 3644 Date d'inscription : 18/08/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 7 Sep 2014 - 4:58 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à | |
| | | dodo974 Contrebandier
Nombre de messages : 237 Date d'inscription : 30/08/2014
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 7 Sep 2014 - 7:50 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev | |
| | | Farcay Pirate
Nombre de messages : 1167 Age : 25 Localisation : paris Date d'inscription : 12/12/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 7 Sep 2014 - 8:48 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en | |
| | | dodo974 Contrebandier
Nombre de messages : 237 Date d'inscription : 30/08/2014
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 7 Sep 2014 - 8:52 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney | |
| | | Farcay Pirate
Nombre de messages : 1167 Age : 25 Localisation : paris Date d'inscription : 12/12/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 7 Sep 2014 - 8:54 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney elecrtique | |
| | | dodo974 Contrebandier
Nombre de messages : 237 Date d'inscription : 30/08/2014
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 7 Sep 2014 - 8:56 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car | |
| | | Drekzzar
Nombre de messages : 229 Age : 31 Date d'inscription : 31/08/2014
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 7 Sep 2014 - 14:32 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. | |
| | | Kroy-Angel Pirate
Nombre de messages : 3998 Age : 31 Date d'inscription : 09/09/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Mar 9 Sep 2014 - 8:34 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit ! C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais Drek : un mot à la fois | |
| | | Read Pirate
Nombre de messages : 3644 Date d'inscription : 18/08/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Mar 16 Sep 2014 - 6:09 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant
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| | | Drekzzar
Nombre de messages : 229 Age : 31 Date d'inscription : 31/08/2014
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Mar 16 Sep 2014 - 6:21 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit ! C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage Edit : Un seul mot? mais vous avez posté combien de messages? | |
| | | Read Pirate
Nombre de messages : 3644 Date d'inscription : 18/08/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Mar 16 Sep 2014 - 6:39 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit
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| | | Drekzzar
Nombre de messages : 229 Age : 31 Date d'inscription : 31/08/2014
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Dim 21 Sep 2014 - 17:33 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit l'horizon | |
| | | Read Pirate
Nombre de messages : 3644 Date d'inscription : 18/08/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Lun 22 Sep 2014 - 8:42 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit l'horizon . Quelle | |
| | | dodo974 Contrebandier
Nombre de messages : 237 Date d'inscription : 30/08/2014
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Lun 22 Sep 2014 - 21:30 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit l'horizon . Quelle était | |
| | | Kroy-Angel Pirate
Nombre de messages : 3998 Age : 31 Date d'inscription : 09/09/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 11 Oct 2014 - 5:22 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit l'horizon . Quelle était cette | |
| | | Read Pirate
Nombre de messages : 3644 Date d'inscription : 18/08/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Lun 13 Oct 2014 - 17:43 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit l'horizon . Quelle était cette ombre
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| | | Kroy-Angel Pirate
Nombre de messages : 3998 Age : 31 Date d'inscription : 09/09/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Jeu 16 Oct 2014 - 1:55 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit l'horizon . Quelle était cette ombre qui | |
| | | Read Pirate
Nombre de messages : 3644 Date d'inscription : 18/08/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Jeu 16 Oct 2014 - 5:07 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit l'horizon . Quelle était cette ombre qui se
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| | | Kroy-Angel Pirate
Nombre de messages : 3998 Age : 31 Date d'inscription : 09/09/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 18 Oct 2014 - 12:54 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit l'horizon . Quelle était cette ombre qui se profilait | |
| | | Read Pirate
Nombre de messages : 3644 Date d'inscription : 18/08/2012
| Sujet: Re: L'histoire sans fin Sam 18 Oct 2014 - 12:58 | |
| Au début de l'histoire, notre aventurier est mort. Il respawn 10 minutes après son décès et ainsi repart vers son vaisseau. Bien qu'il soit unijambiste, de naissance pauvre et aveugle, son Karma était immuable : Incroyablement immuable. Cependant, il avait un penchant psychopathe qui lui donnait un air de cruauté sadique et cependant, donc, il inspirait un effroi sans nom . Ses chaussures gauches étaient sales, donc il sautillait sur son pilon usé et noirci jusqu'au ventre gonflé comme un ballon de baudruche. Notre héros commence son ascension hiérarchique en escaladant peu à peu l'échelle de son aéronef, lorsqu'il tombe droit sur un lézard noir qui avait des flingues auxquels ses lunettes se balançaient. C'est alors que le pauvre se blessa le bras lorsqu'il voulu attaquer cette poule qui était en chocolat et qui picorait du pain dur. Lorsqu'il l'attaqua, son ennemi riposta avec flegme et férocité : d'un hamster nain psychopathe ,il mordit son nez et ses oreilles percées qui avaient des anneaux en forme de chèvres lépreuses blanches et tachetées roses . Cela inonda son cerveau malade de jalousie, lissa sa boite crânienne verte . Des vers luisants se baladent sur ses joues blêmes, sans aucune ride mais une tache brunâtre souillait lentement ses dents pointues jaunies par la nicotine pure . Notre aventurier continua sa montée mouvementée vers le Cockpit décapotable . Il glissa sur une peau d'écureuil qui traînait depuis longtemps dans l'habitacle poussiéreux et sale . Mort, et poussiéreux cet homme fatigué respawn une journée après. Il s'assit et se reposa contre sa chaise vermoulue et appuya sur le bouton rouge qui activa l’ascenseur . Enfin il actionna la cartouche bleue attenante au levier vert qui fit démarrer le moteur. Dans un rugissement lugubre, le système émit un nuage de fumée grisâtre . Une secousse marqua le mur noircit et arracha du sol deux énormes dalles moussues. S'élevant doucement, le vaisseau partit en zigzaguant tout droit vers le firmament. Dans l'obscurité de l'habitacle, l'homme manœuvrait adroitement entre les méandres formés par les sinuosités odorantes de détritus encombrant la cabine. "Il hochait bien souvent la tête ce pauvre lézard vert... Il redoutait un soudain retournement de situation . En effet, un inattendu ver-de-terre dodelinait sur un œil vert, se pencha vers les bouteilles vides mais qui sentaient le rhum ambré. Il huma l'air chargé de vapeurs d' alcool et d'innombrables microbes qui sentent la pourriture . Néanmoins il était attiré par la lumière rouge émanant du portail dimensionnel reliant le nouveau frigo au lave linge. Il se déplaça dans le frigo à la gauche du tableau noir . Notre aventurier assoupi se met à ronfler très faiblement comme un ronronnement mignon d'une lionne sauvage anorexique . Tout le corps s'arquait comme un arc tendu à fond vers une cible imaginaire de plusieurs mètres. Pendant ce temps le ver se rapproche du fond givré du congélateur rose. Il décide de coller sa petite langue gelée a la pomme rouge pour la sentir. La pomme gelée tomba sur le sol frigorifié et roula vers lui. L ' horrible aventurier se réveilla avec un bâillement à réveiller les arbres de la forêt enneigée . Il se leva et alla ramasser la pomme gelée de sa main engourdi a un fil en fer rouillé. Il la croqua et se retourna car il entendit un petit couinement de cornemuse écossaise rouillée. Il vit le ver sur le bord de la pomme. Il souffla un air frais venu du fond de la trachée profonde sur le ver étonné de sa découverte . En regardant derrière son pied, il vit plein de deutérium inutilisé caché par un tas de câbles en verre optique et une sorte de purée verdâtre à l'azote liquide qui fumait. "Mais une minute que vois-je ? Un hangar gigantesque ? Je rêve donc." il se voit dans un éclat de cristal photonique et vit une femme derrière lui . Imagination débordante hélas . Il se gratta le nez et il bailla à s'en décrocher la mâchoire. il s'éveilla dans une grotte sombre qu'il éclaira avec une torche chimique datant de 1830. Peu après, alors que notre homme tentait de se dégager du rocher qui bloquait sa jambe, un animal sauta sur son nez ensanglanté. Quel horrible cauchemar, se dit t' il . Il cligna des paupières puis se leva en s'étirant puis marcha vers l'escalier métallique menant au poste de pilotage. Tout le long de son ascension fulgurante, il chantonnait une chansonnette guillerette, mais cependant il scrutait les alentours en se demandant quelles énormités avaient été faites pendant qu'il roupillait d'un oeil. Il avait oublié à quoi s'attendre en arrivant sur le bord des cratères en fusion . Une déflagration retenti à bord de l'embarcation qui trembla dans l'espace intersidéral . Un choc aussi titanesque que sourd se propagea dans tout le vaisseau et eut tôt fait d'ébranler l'habitacle du pauvre aventurier et malgré ce choc, l'aventurier continua son aventure en faisant les réparation nécessaire. Il avait la capacité de réparer son vaisseau pour pouvoir repartir à l'aventure dans l'espace intersidéral mais une secousse dans son vaisseau l'empêcha de décoller et le stoppa net dans sa motivation de sa conquête. Il redoubla d'effort et partit à l'aventure... Enfin il vit apparaître la piste de son hamster pour le sauver des griffes du redoutable tigre argenté du sahara affamé. Trop de sable dans le sablier provoque un encombrement incompressible sur le cylindre bleu. Quelle ironie du sort, cette prise fatale pour un hamster nain ne jamais réussi à tuer. Le plus dur moment est celui de l'avalanche de carambars... Une pluie de météorites s’abattit violemment sur le volcan en sommeil depuis 10 longues minutes faisant de la danse acrobatique et sportive . Ce pauvre volcan fume trois fois par an . Mais cependant aujourd'hui il veut cracher de grandes tôles métalliques fondues par la chaleur torride dégagée par les hamsters calcinés. Les senteurs naturelles émanant des volcans embrasés se mélangeaient pour empoisonner les pauvres survivants .Quelle odeur nauséabonde ! Notre aventurier n'abandonna pas et continua son chemin vers les catacombes désertées du monde. En avançant vers elles, il trébucha contre un os énorme de mammouth. Ses mains tremblaient, son corps se contorsionnait sous les restes de ce mastodonte pourri depuis plus de 5000 ans. Et tout a coup, une horde de ces raton-laveurs dégueulasse déferla sur l'aventurier furieux, le coeur battit lentement puis accéléra, a ce rythme saccadé. Il poussa un terrifiant pet malodorant de la mort, qui dévasta la horde de raton-laveur puant. Epuisé il s'accroupit pour récupérer un morceau de pain rassis et noirâtre .IL le mastique comme un chewing gum. C'était bizarre comme sa joue gonflait comme un ballon de baudruche prêt à éclater. Il se leva d'un bond sec et pris sa Lame Ardente autrement que froide de givre. Sa Lame illumina la salle obscure et flamboya, magnifique étoile ; au plafond le scintillement disparu dans l'ombre grandissante de la voute . Puis, alors que notre homme poursuivait son chemin, il trébucha sur un caillou pointu. "Aïe aie aie !" Fais mal cette pierre ! Mon fourreau s'est coincé dans la crevasse étroite qui prolongeait le sentier rocheux et escarpé... Comment arriver à Auchan sans passer par le piton rocheux étrangleur, qui soudain étrangla des rats. Pauvre piton maladroit, il s'étala tel un koala dans une casserole pleine d'eau acidulé et l'eau jaunit comme un petit canard malade . "C'est hallucinant cette drôle d'histoire sans queue ni tête, non ?" Que fait ce narrateur herbivore ? Il joue avec les lieux et les mots pour faire durer le supplice du lecteur. Mais quand il s'inspire de faits irréels son imagination débordante déraille un tant soit peu ... Ce n'est que l'histoire d'un homme saoul qui hallucine tranquillement accompagné d'un champignon psychotrope multicolore. Cet imbécile écrit nu comme un ver luisant .Quelle horrible sensation de planer sans aile ni voilure, comme si on gravitait autour du soleil en éruption . Notre aventurier perturbé par toutes considérations négatives sur son créateur se dit : Merde ! Faut que je retourne à l'auberge vider des pintes ! Sinon je vais m'écrouler de fatigue... Allons continuer cette épopée Dantesque qui n'en finira pas a cause de quelqu'un qui continue de crier sur Bernadette Boucher l'épéiste aveugle . Il prit vigoureusement son arme énergétique et activa le mécanisme de déclenchement du système autonome fiable qui crépitait sans interruption. Un bruit métallique retentit !
C'est terrible, un immense robot émergea du souterrain en cliquetant. Il était noir dégoulinant d'huile malodorante et jaunâtre avec des grosses antennes rouges. Sans plus réfléchir, il fonça sans un casque sur cet ennemi diabolique. Il prit sa puissante arme nucléaire et visa le point rouge précisément, puis tira. Une détonation retentit, le robot vacilla et s'écrasa dans un bourbier malodorant. Il ne se releva plus, donc il était anéanti . L'aventurier blasé retourna à Kiev en poney électrique car il n'y avait pas de meilleur transport en ce temps que le poney. Mais cependant un nuage obscurcit l'horizon . Quelle était cette ombre qui se profilait sournoisement | |
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